« Victimes » – La liberté en 4 étapes

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Et si je choisissait de ne plus être « victime » …

ou,

La liberté en 4 étapes !

Hommes ou femmes peuvent tomber sous l'emprise d'une personne manipulatrice. Et, même si les hommes victimes auront probablement en plus à surmonter la honte du regard que pose la société sur eux, le mécanisme pour en sortir n'en reste pas moins le même. Je vous invite à lire et à apporter vos commentaires personnels.
Geneviève Schmit - Psychologue et thérapeute spécialisée pervers narcissique
Geneviève SCHMIT
Psychopraticienne & auteur

Qu'est-ce que la responsabilité?

Être « responsable«  c’est avoir la conscience que nos propres décisions, nos choix, nos aveuglements, nos espoirs et désespoirs nous mènent à vivre l’expérience de chaque instant.

Il n’y a aucune place pour la culpabilité dans cette réflexion, juste une certaine conscience du système dans lequel nous évoluons et de la dynamique relationnelle que nous avons mise en place.

La culpabilité nous signale que nous avons mal agi, ou transgressé nos valeurs, nos principes moraux. Elle peut être utile comme signal, comme peut l’être également la peur, mais elle risque également de devenir une position émotionnelle totalement néfaste tendant à figer la victime dans une tension, une anxiété ou même un immobilisme mortifère.

Pour reprendre sa vie en main, il est vital de dépasser la peur et la culpabilité.

[box] C’est la conscience de notre propre « responsabilité » qui ouvre la voie de notre liberté.[/box]

La conscience de notre part de « responsabilité » mène au choix. Ce choix peut être celui de notre liberté d’être, ou pas.

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Même enfermé entre quatre murs, il reste un choix: le choix de fixer ces murs jusqu’à en devenir fou, ou celui de fermer les paupières pour ouvrir les yeux intérieurs vers d’autres mondes. Il y a donc bien un choix.

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Pour ajuster un peu mieux mes propos, je vais préciser qu’à partir du moment où la victime d’une manipulation perverse prend conscience de la situation d’emprise dans laquelle elle se trouve enlisée, peut être pris la décision d’entrer dans une nouvelle étape décisive: la responsabilité du choix et donc maintenant modifier son propre futur.

La liberté en 4 étapes

1: Descente aux enfers

La descente aux enfers devient une réalité effrayante lorsque la victime sous l’emprise perverse narcissique se sent disparaitre dans l’antre du bourreau. Le piège se ferme inéluctablement, étouffant le peu d’énergie vitale qui lui reste.
Plus le temps passe, plus le piège se referme sur la proie.
Plus le piège se ferme, moins la proie est accessible aux informations qui pourront contribuer à la sortir de ce piège mortel. La personne toxique fait passer pour folle sa proie qui risque bien de le devenir…
Il faudra bien souvent attendre un évènement significatif, violent, qui touche les enfants, pour que la victime ouvre ses yeux sur l’enjeu des comportement pervers et sur sa propre situation. Ce réveil peut être furtif jusqu’à disparaître un temps, mais il peut aussi ouvrir la brèche menant à la liberté du choix.

2: Ouvrir les yeux

Nous sommes « victime« , victime impuissante de la situation perverse, ou quelque situation que ce soit, jusqu’à ce que nous posions notre regard sur elle.

Ce recul, même infime, permet de modifier notre conscience et donc immanquablement notre expérience.

« Un simple battement d’ailes d’un papillon peut-il déclencher une tornade à l’autre bout du monde ?« 
Vous avez certainement déjà entendu parler de cette exaltante et déroutante  interrogation du célèbre Edward Lorenz.
Edward Lorenz a prouvé que de toutes petites variations entre deux situations initiales pouvaient engendrer, au bout d’un certain temps, des situations finales très éloignées. Cette constatation a mené à réfléchir sur la théorie du chaos.
La théorie du chaos affirme qu’une erreur très faible sur un paramètre peut avoir une influence importante sur la situation résultante à une date ultérieure.
La métaphore de l’effet papillon peut très bien s’appliquer à tout ce qui touche la relation d’une victime au pervers narcissique qui la maintient sous son emprise.

Qu’est ce qui empêche d’agir?
Qu’est ce qui empêche le  « plus petit premier pas« ?

Ce qui empêche d’agir c’est notre propre pensée !
Notre pensée peut nous porter ou nous détruire.

Nul besoin de consulter durant 20 ans un psychanalyste pour prendre réellement conscience de cette réalité.

Notre pensée peut être notre plus grande alliée ou notre pire ennemie.

Notre pensée peut nous maintenir dans la terreur d’un futur qui serait pire que le présent.

Notre pensée peut nous fait croire que nous ne pourrons pas y arriver, que nous ne valons rien, ou même, que nous l’avons bien mérité.

En fait … notre plus grand ennemi … c’est nous-même …

Et du coup, la bonne nouvelle c’est que l’on peut alors choisir de devenir sa meilleure alliée, sa meilleure amie!

Ne voulant plus passer pour une victime, l’être manipulé peut enfin mettre consciemment tout en place pour se dissocier de l’homme pervers narcissique ou de la femme manipulatrice destructrice.

Cette réalité sera rendue possible à condition de se détacher des peurs irrationnelles, de la honte, de la culpabilité injustifiée et de découvrir la confiance en soi.

Un pas à la fois, avançons avec force et courage.

La proie peut se figer dans des pensées qui, telle la souris qui tourne indéfiniment dans sa roue,  tournent en boucle dans la tête barrant ainsi le passage à toute vraie réflexion.

Se trouvant alors dans l’œil du cyclone, la victime voit le chaos emporter tout sur son passage alors même qu’en son centre, elle trouve une sorte de réponse apaisante à son besoin addictif.
La relation entretenue avec le pervers narcissique l’isole de l’environnement structurant, lui fait perdre tous ses repères, tout son potentiel personnel.

En même temps, au prix de son sang, la victime voue son existence à ce monstre sans foi ni loi autres que les siennes, lui permettant de jouir de l’apaisement relatif du manipulateur pervers narcissique.

3: Réflexion:

Pour passer à l’étape supérieure, il est indispensable que la réflexion débouche sur l’action!

Notre réflexion doit mener à l’action faute de quoi elle devient stérile, nous décourage et nous empoisonne.

La réflexion saine et utile doit se poser sur la réalité de l’ensemble de la situation. Du moins, sur ce que nous sommes capable d’en voir, d’analyser, au travers de nos propres filtres, souffrances, limites personnelles.

Pour avoir une réflexion efficace, il est important de tenter de prendre le recul nécessaire pour obtenir une vision la plus globale possible.

Faites-vous aider. Osez écouter l’avis d’autres personnes. Posez-vous, posez votre souffrance, calmez votre chaos intérieur et tentez de prendre un minimum de recul.

Vous allez certainement réaliser que votre souffrance vous a entrainé dans les affres de la colère, de la haine, et c’est normal.

Dans cette étape de réflexion, vous aurez peut-être la force de voir que bien souvent, c’est votre colère, toute légitime, qui vous a poussé à poser des actes qui ont à leur tour provoqué certaines conséquences dont vous souffrez aujourd’hui.

La conscience de notre participation active au « jeu » de destruction dans lequel nous sommes broyés va peu à peu devenir plus claire.

 

La conscience de notre participation dans la relation toxique nous amène à réaliser que si je modifie mon comportement, ne fût-ce qu’un tout petit peu, j’aurais immanquablement une autre réponse.

Et donc, à partir de ce postulat de base, je vais pouvoir volontairement apporter une autre attitude pour tenter d’avoir une autre réponse. Nous entrons dans de une contre-manipulation consciente et constructive.

Le fait de réguler mon comportement afin de tenter obtenir une autre réponse, redonne le pouvoir nécessaire pour amorcer concrètement le changement.

4: Amorce du changement par l'action

La victime lucide, se retrouve en face de la responsabilité de ce qu’elle va choisir de faire de cette prise de conscience.

Une fois la destination déterminée, une fois les bagages ficelés, un voyage débute par un premier pas.

Chaque pas, même infime, va venir tout naturellement réparer, puis reconstruire ce qui constitue la faille principale de la victime « idéale » du pervers narcissique, à savoir son manque d’estime et de confiance en soi.

Chaque acte posé, participe au renforcement du socle de la personnalité stable qui va pouvoir se construire maintenant.

La règle des tout-petits pas ne doit pas quitter notre esprit. Tous les jours ne seront pas grandioses, certains même seront minables ou même désastreux, mais chaque jour nous rapproche de notre liberté.

Si nous gardons notre phare bien allumé, la direction parfaitement définie, nous pourrons toujours retrouver notre mouvement de vie.

Alors… Qu’allez vous décider ?

Parlons en !

Vous souhaitez que je vous aide à en sortir ?


Consultations en ligne de 40 minutes par visio ou téléphone

Geneviève SCHMIT - mai 2015

genevieve schmit psychologue pervers narcissique
© Geneviève Schmit, experte dans l’accompagnement des victimes de manipulateurs pervers narcissiques depuis 2012.

Pour toutes consultations à distance, laissez-moi un texto au 06.43.43.15.79

La reproduction intégrale de mon écrit est autorisée. Cependant, mon nom complet ainsi que le lien actif de la page du site internet https://soutien-psy-en-ligne.fr ou/et https://pervers-narcissiques.fr est obligatoire. Vous remerciant de votre compréhension ainsi que de l’intérêt porté à mon travail.

Geneviève Schmit.
J’aurais grand plaisir à lire vos interventions sur le Facebook qui vous est dédié :
Facebook pour les victimes de violence psychologique et de manipulation perverse. Soutien.Psy

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Genevieve Schmit

Spécialiste de l'accompagnement des victimes de manipulation perverse narcissique, j'ai élaboré un protocole thérapeutique adapté et accessible à distance. Les séances sont possibles par téléphone ou visioconsultation, garantissant une flexibilité et une confidentialité optimales. Pour convenir d'un rendez-vous, je vous invite à me joindre au 06 43 43 15 79 et à me laisser un bref texto. Je m'efforcerai de vous recontacter dans les plus brefs délais

22 commentaires :

  1. J,ai l’impression d’avoir été avec un narcissique pervers, la relation s’es terminée il y a 5 jours et je me sens coupable de tout ce qui a été mal, de sa souffrance, mais c’est lui qui a mis un terme en me disant qu’il ne pouvait pas envisager se marier avec une femme violente, qui lui parle sur des tons secs, qui a souvent des emportements, etc,

    • Bonjour,

      Il y a 2 mois j’ ai rencontré un homme qui a tout les traits d’un PN au début il était gentil attentionné compliments sorti plage restaurant et c’était fusionnel entre nous il me racontait tout il n’aimait pas les règles de loi il passait au dessus exemple il ne mettait pas sa ceinture de sécurité prenait les sens interdit il était fêtard alcool drogue bizarrement il m’a dit qu’il m’aimait au bout de 2 semaines ça m’a fait un peu peur le pire c’est qu’il voulait me faire un enfant mais il était hébergé dans sa famille et n’était pas décidé à vouloir prendre un appartement et moi vivant dans un petit appart je n’ envisageais pas avoir un enfant desuite. De plus son côté fêtard me dérangeait et puis il s’est mit à vouloir que je vive chez sa famille j’avais quitté mon travail à cause des horaires donc j ai accepté comme si je passais des vacances avec lui je ne voyais plus mes amis famille je voyais son entourage et je voyais au fil du temps qu’il ne faisait pas d’effort ne voulait pas en faire me critiquait tout le temps venait me faire des bisous de temps à autre devant les amis et à chaque soirées il faisait tout pour me provoquer donc je sautais à pieds joints on sengueulai et c’était tout le temps de ma faute il passait son temps à me rabaisser il disait que je lui pourrissait la vie que j’étais là pire jusqu’à présent à 3 reprises j’ ai fui je rentrais chez moi grâce à mon inconscient 1 mois plus tard j avais retrouvé un travail mais il ne voulait pas venir chez moi car il avait travaillé moi j’y allais pourtant ou alors il venait des fois en me disant qu’il s’était remis en question et qu’il venait pour discuter en fait s’était faux on discutait de tout et de rien ensuite il voulait coucher avec moi et c’était juste pour ça et je ne refusais pas car il faisait exprès que je sois en manque de sexe de lui tout court bref et la goutte d’eau ça a été pour mon anniversaire il devait m’emmener au restaurant en sachant que la veille on s’était une énième fois pris la tête car il avait tout fait pour me provoquer on est parti de chez ses amis et dans la voiture en me ramenant il m’a rabaissé je n’ai pas pu parler il m’a dit de rentrer chez moi le lendemain c’était mon anniversaire il m’a puni on a fait une soirée avec ses amis une soirée comme les autres il ne me l’a même pas souhaité il a distribué de l’ essuie tout à tout le monde et a dit à un gamin de 8 ans de me donner une feuille en disant que c’était mon cadeau. Je n’ai pas su quoi dire j’étais dégouté. Le lendemain je l’ai dénoncé à tout le monde en disant que c’était un manipulateur j ai fais un repas avec ma famille qui m’a conseillé de m’éloigner de lui. Je l’ai eu au téléphone dans la soirée pour lui dire ses quatre vérités et il m’a quitté en premier mais avec tout ce que je lui ai dit je lui ai fait comprendre que c’est ce que je voulais car même s’il était méchant rabaissant sadique même je ne raconte pas tout ben je l’aimais il me manque et je ne sais pas si c’était un PN ou un mec qui a voulu profiter de moi il me prenait souvent pour sa servante son souffre douleur avec les paroles il était dangereux j’avais peur de lui d’une certaine manière. Mais j’ai ce sentiment de manque pourtant et j’ ai peur qu’il revienne pouvez vous me répondre au moins pour savoir si c’est un PN. Merci désolé pour le roman.

  2. comment prendre rendez-vous pour des consultations à distance? Quels sont les coûts?

  3. Bonjour,

    J’aurais grand besoin de me raconter…j’ai beaucoup de souffrance et ne sais pas comment m’en sortir malgré tous vos bons conseils…

  4. J’ai décidé de changer mon attitude, puis de partir.

    La 1ere étape a commencé il y a 1 an 1/2, je savais à qui j’avais affaire, mais je refusais d’admettre m’être faite avoir une fois de plus.
    Je voulais comprendre, avoir des explications, je proposais des solutions, me battre et ne pas renoncer aussi facilement. Tout se retournait contre moi, ou alors j’étais face à un mur de silence d’une froideur extrême(surtout lorsque je parlais de mon mal être).

    Puis il y a 5 jours, il a commis un faux pas : la réflexion de trop, directe cette fois, d’une méchanceté inouïe au mauvais moment, suivie d’une accumulation plus rapprochée que d’habitude d’accusations et de rabaissements, puis se victimisant, oubliant entre temps de me délivrer ma dose de drogue qui me faisait le pardonner. Et plus j’avais mal plus il appuyait.

    Je suis immédiatement tombée en profonde dépression.

    Les autres étapes que vous décrivez si bien, se sont ensuite enchainées très rapidement.
    Seule chez moi, ne cessant de pleurer, j’ai fait appel au peu de lucidité qui me restait, pour essayer comprendre.
    Il n’apportait pas les réponses à mes questions, alors je suis allée les chercher ailleurs, sur internet. Sur votre site principalement, Geneviève. Et je ne vous remercierais jamais assez.

    Enfermée pendant 5 jours chez moi sans quasiment sortir, j’ai lu. Beaucoup lu.
    Plus je lisais sur les PN plus je voulais en savoir. Et plus je savais, plus je le reconnaissais, comprenant son fonctionnement. J’étais choquée.
    j’ai retrouvé sur internet et sur votre site notamment, tous les mots que j’employais pour le définir. Pour chaque attitude décrivant le profil du PN, une exemple de ce que je vivais s’y associait automatiquement.
    Et j’ai ouvert le yeux!
    Mes doutes du début étaient bien fondés, mais je n’avais jamais eu la curiosité de creuser plus loin.

    Ce qui m’a sorti de ma dépression aussi rapidement, est qu’ENFIN j’avais les réponses à mes questions!
    Ces fameuses questions dont l’absence de réponse me tuait lentement.
    Celles que je me posais sur ce qui n’allait pas chez moi, pourquoi je faisais tant de mal à l’homme que j’aimais.
    Mais aussi celles que je ne cessais de lui poser, souvent avec énervement d’ailleurs, à propos de son attitude perverse envers moi.

    Ce fut un véritable électrochoc qui m’a permis de comprendre qu’il était vraiment malade.
    Je faisais fausse route depuis le départ en le confrontant à sa réalité, en ne cherchant pas mes réponses là où il le fallait.
    Je suis devenue lucide.
    Je viens de finir de ramasser ma fierté.

    Maintenant que JE SAIS, je vais changer de comportement envers lui.
    Je ne le regarderai plus jamais comme mon petit ami que je blessais par mon attitude, mais comme une personne atteinte d’un trouble pathologique.
    Je ne m’énerverai plus ou ne me sentirai plus blessée à sa prochaine dénigration. Je le regarderai avec pitié.
    Je ne ressentirai que froideur quand il me prendra dans ses bras ou voudra me re séduire.
    Puis je partirai, sans prévenir, calmement, sans le menacer de le faire en pleurant.
    J’appliquerai le « no contact » sans regret. Car maintenant JE SAIS que l’homme que j’aimais n’a jamais existé et que lui ne changera jamais.
    Je suis une personne forte, une battante, j’y arriverai.
    Je ne souffre plus. Je me sens libérée, en paix avec moi même, et je lui ai déjà pardonné tout le mal qu’il m’a fait, car cette personne est malade et n’a pas conscience de son trouble.

    Il fait silence actuellement, malgré mes regrets et excuses exprimées, c’est lui qui décidera de revenir si je suis digne d’une dernière chance, et si je tiens mes promesses de devenir meilleure. Certains signes montrent qu’il n’a pas encore l’intention de me quitter. il faut juste que je l’implore un peu plus. Il a encore besoin de moi.

    Je ne l’ai pas revu depuis 5 jours, depuis ce fameux jour, mais j’ai déjà fait le deuil de notre relation.
    Tout le reste ne sera que pure formalité.

  5. bonjour ,le choix je l’ai mais le seul probleme sais que je n’est pas de travail donc pas d’argent comment m’en sortir je vie sous le meme toi que le pere de mes enfants chaqu’un sa chambre je n’est plus d’amour le jours ou il ma trahit je n’est pas famille ni amie pourquoi pas d’amie je me suis fait roulé j’ai donner ma confiance sa

    • comme je disait j’ai donner ma confiance et la aussi ont ma trahit je souffre beaucoup j’ai pardonner je ne sais pas ou allée j’aimerais beaucoup rentée contacte avec vous , se que vous Ecrivez je me trouve exactement dedans merci cordialement,fatma

  6. Un grand merci à Geneviève d’avoir pris le temps de me lire, merci aussi pour vos écrits et vos conseils, vos mots représentent la réalité des combats face à ma peur de l’inconnu….
    J’ai ouvert les yeux, mais l’estime de soi et mes pensées ne sont pas tjs saines,
    J’adhère et j’aspire à un apaisement intérieur qui me conduira à cette liberté….

  7. Un grand merci Geneviève, merci pour votre écoute, votre partage, votre implication…
    Se sentir écouter est une aide tellement précieuse.
    Cet article me réconforte et me maintient sur le chemin de la reconstruction: chemin qu’on abandonnerait si facilement si nous n’étions pas reboostée de temps en temps.
    Merci pour ce booster qui répond complètement à mes besoins et qui en aidera certainement plus d’un(e)!

    • Vos encouragement Max Tatoo, et ceux nombreux des autres membres du Groupe de victimes que je co-administre, me vont droit au cœur.
      Il est parfois extrêmement périlleux de dire certaines choses qui pourtant, sont essentielles pour réorienter positivement sa propre vie.
      Ce sont tous nos échanges qui m’aident à trouver les mots qui peuvent résonner dans votre esprit et ouvrir en douceur la boite de cette conscience.
      Affectueusement,Geneviève Schmit

      Vous pouvez me rejoindre également sur mon Facebook Pro: Soutien.Psy où j’aurai plaisir à lire vos interventions.

  8. bravo Genenvieve pour cet article qui effectivement demandé d avoir pris un peu de la hauteur par rapport à la relation toxique que l on peu vivre mais ça me conforte dans mon choix de faire chaque jour un petit pas pour retrouver ma liberté en acceptant les choses que si ça me fait plaisir à moi ….

    Encore merci pour votre aide et pour votre plume si facile qui transcrit si bien ce que nous vivons et ressentons

  9. Et peut-être, si possible, avec cette réflexion globale, dédramatiser un peu.

    L’autodérision est pour moi une bonne « thérapie » 😉

  10. Lu…….à imprimer, à garder dans sa poche …à lire et à relire….chaque jour…..au fur et à mesure des étapes…si bien dit………aide précieuse…pour accèder à la liberté..je l’imprime..

  11. Cet article est en tout point en accord avec mon cheminement personnel. En fait, il énonce exactement mon mode de pensée.
    Parfois je me sens au-dessus de cela (orgueil ou fierté ) parfois je me sens en dessous de cela ( culpabilité ou sens des responsabilités trop prononcé )

    Mais jour après jour, je trouve un peu plus de constance et de sérénité.

    Merci

  12. Très finement énoncé.
    Pas simple d’accepter notre responsabilité tout en rejetant la culpabilité. L’une fait grandir et l’autre écrase…Eh oui la reconstruction de notre estime de soi part de là : accepter l’échec en tant que tel sans traîner notre valise de remords.
    Rebondir et faire de cette « erreur » de parcours une force pour l’avenir…oui c’est cela qu’il faut réussir à faire !
    Et puis avancer à petits pas…ne pas être trop gourmand et exigeant vis à vis de nous et nous féliciter de chaque victoire, même minime…pour regonfler cet ego malmené.
    Je vais afficher cet article au dessus de ma cafetière pour bien démarrer chaque journée 😉

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