… Lucidité du manipulateur pervers narcissique …
« Dans mon monde à moi il faut que je sois le maître ! »
Deux informations essentielles se trouvent dans cette étincelle de lucidité:
1/ « mon monde à moi » – Il semble conscient à cet instant qu’il vit dans une
autre réalité qui lui est propre.
2/ « que je sois le maître » – Cet homme là a pris conscience de la nécessité
vitale de maitriser son environnement pour se protéger.
Merci encore,
Je suis là pour savoir si mon compagnon qui vient de me larguer est PN
il y a eu conflit et je le suis mis en colère
Mais selon lui il est interdit de se mettre en colère car “dans son monde à lui “ c’est interdit
Il n’a pas l’aire de se rendre compte de ses propres comportements passifs agressifs qui sont très violents.
Bonjour, A vous lire je ne peux m’empêcher de me dire que PN ou pas, vous avez beaucoup de chance qu’il vous ai « larguée »
La vie auprès de lui de semblait pas fort agréable.
Bon courage, Geneviève SCHMIT
Bonjour Geneviève,
Merci pour votre réponse
Malheureusement ce n’est pas si simple. Il semble que sa pathologie se révélait essentiellement sur cette question de la nourriture et de devoir faire des repas pour manger.
Pour le reste c’était plutôt une grande entente, avec les mêmes centres d’intérêts. Une grande complémentarité
Il y avait cependant des alertes comme le fait qu’il n’ait aucun ami et beaucoup de ruptures et divorces avec des femmes avec qui il ne parlait plus jamais, même après des années comme sa première femme avec qui il a eu 2 enfants.
Et des comportements inappropriés quand les choses n’allaient pas selon son désir, cette interdit de parler et d’évoquer les causes du conflit. Également des rires assez étranges …
Tu dois obeir, fermer ta gueule et t’écraser sinon je te quitte t’as compris? ET APRES C MOI LA CINGL2E?????
Je suis victime de un manipulateur narcissique et je ne sais pas comment faire pour sortir des ses mains…
Bonjour Vera,
Vous avez fait le premier pas … ouvrir les yeux ! Bravo !!
Il ne « reste plus qu’à » … fuir.
Je suis là pour vous si vous le souhaitez.
Bon courage, Geneviève SCHMIT