Aliénation parentale – TEST en ligne en 15 questions

3 commentaires :

1. 

   Joubert

   21 novembre 2025 à 17 h 57 min

   Bonjour Geneviève,

   Je ne peux pas savoir si mon ex. mari essaie de convaincre ses enfants sur le fait que je puisse être un mauvais parent. Tout ce que je vois et ce dont je m’aperçois, durant les jours quotidiens, c’est que mes enfants me téléphonent de moins en moins. Un de mes fils m’envoie un message il y a peu de temps, de menaces en ce qui concernait mes actions que je devais faire en fonction de mes biens. Le dialogue est devenu très faible, car je n’ai pas répondu. Tout ce que je peux savoir, c’est ce que je ressens. C’est à dire, peu de dialogues avec mes enfants, même avec certains qui ont peut-être compris certaines choses. Cela dit, je pense que leur père ne pense qu’à eux et les manipule pour le soutenir à fond. Pendant ce temps là, je suis intéressée par l’aliénation parentale car en lisant vos informations, je retrouve mes enfants comme ils sont, ils souffrent certainement, encore blessés d’ailleurs. Comme je vous avais expliqué, aucun changement n’est arrivé, pour mes biens et je constate que mon ex. mari ne répond pas au notaire qui voulait une date pour se réunir pour partager nos biens. Je continue à lire, cela me permet de comprendre les avis, pensées, idées de mes enfants.

   Je vous remercie de ces informations qui m’intéressent énormément.
   Patricia Joubert

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2. 

   Carole Cloutier

   26 août 2025 à 1 h 30 min

   Bonjour, jai repondu en tant que grand maman, car ma petite fille a vécue et encore aujourd’hui l’alienation parentale venant de sa mère envers nous les grands parents , et envers son papa. La mère continu toujours après tant d’années.

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   • 

     Genevieve Schmit

     31 août 2025 à 8 h 47 min

     Bonjour,

     Je ressens toute votre douleur de grand-maman face à cette situation d’aliénation parentale. C’est une immense souffrance d’être ainsi écartée de la vie de sa petite-fille par des mensonges, de la manipulation et parfois ce besoin pervers de faire passer pour une victime celle qui exerce en réalité l’emprise.

     Vous n’avez aucune culpabilité à porter : dans ce type de relation toxique, la manipulatrice sait utiliser la contre-manipulation, les silences et le harcèlement pour maintenir son pouvoir, quitte à briser les liens familiaux. Vous êtes une victime indirecte, tout comme votre fils et votre petite-fille, et cela est profondément injuste.

     Je vous envoie toute mon empathie. Sachez que, malgré cette douleur, il est possible d’agir différemment : rester une présence stable, aimante, discrète, sans entrer dans les conflits. Car l’enfant manipulé, même sous l’emprise, garde souvent une mémoire intérieure de l’amour sincère qu’on lui a donné.

     Avec tout mon soutien,
     Geneviève Schmit

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