Comment répondre aux courriers d'un manipulateur pervers (PN)
Répondre au courrier d’un manipulateur pervers est toujours une mission délicate.
Ce qui semble être une réponse posée peut, sans le savoir, renforcer l’emprise et donner des informations qu’il vaudrait mieux taire.
Voici les 8 erreurs les plus fréquentes à éviter pour ne plus se faire piéger par les échanges écrits.
Pourquoi bien expliquer est souvent une erreur
Une patiente m’a récemment soumis un message qu’elle s’apprêtait à envoyer à son conjoint.
Un message long, réfléchi, argumenté, respectueux.
Son objectif était simple, faire comprendre, apaiser, trouver un terrain d’entente.
Pourtant, tel quel, ce message l’exposait davantage à l’emprise.
Pourquoi ?
Parce que face à un manipulateur pervers, répondre ne relève pas de la communication classique. C’est une stratégie de protection.
Ce que font spontanément les victimes
Lorsqu’elles reçoivent un message inquiétant, contraignant ou culpabilisant, les victimes ont tendance à :
- expliquer longuement leur position
- rappeler le passé, les accords implicites, les discussions antérieures
- justifier leurs besoins
- rassurer les peurs de l’autre
- chercher l’accord ou la validation
- répondre rapidement pour désamorcer le conflit
C’est humain.
C’est logique dans une relation saine.
Mais dans une relation marquée par l’emprise, c’est inefficace, et souvent dangereux.
Ce que fait réellement le manipulateur avec ces réponses
Le manipulateur pervers ne lit pas un message pour comprendre.
Il le lit pour :
- découper chaque phrase
- contester les détails
- réécrire l’histoire
- nier ce qui a été dit auparavant
- inverser les rôles
- se poser en victime inquiète ou raisonnable
- reprendre le contrôle par la peur ou la culpabilité
Plus vous expliquez, plus vous lui donnez de matière.
Plus vous vous justifiez, plus il nie.
Plus vous répondez vite, plus il sent qu’il a prise sur vous.
« Communiquer avec un manipulateur pervers, c’est comme tomber dans des sables mouvants. Plus on s’agite, plus on explique, plus on donne… plus on s’enfonce. »
Geneviève SCHMIT Tweet
Pourquoi “bien communiquer” ne fonctionne pas ici
Ce n’est pas un malentendu.
Ce n’est pas un conflit symétrique.
Ce n’est pas une peur légitime qu’il suffirait de rassurer.
C’est une dynamique de contrôle.
Chercher à convaincre un manipulateur pervers est une illusion.
Il ne cherche pas une solution. Il cherche à garder le pouvoir.
Les règles fondamentales pour répondre sans se faire piéger
1. Ne jamais répondre dans l’urgence Dans la mesure du possible, ne répondez pas le jour même. Laissez passer une nuit. Le délai permet de sortir de la réaction émotionnelle et de reprendre la maîtrise de vos mots.
2. Se faire attendre Répondre immédiatement renforce la dynamique de contrôle. Se faire attendre n’est pas un manque de respect. C’est une protection.
3. Ne jamais accepter les échanges multiples Un message. Une réponse. Puis on s’arrête. Le ping-pong de messages est l’un des principaux outils de l’emprise.
4. Écrire peu Moins il y a de mots, moins il y a de prises pour la manipulation.
5. Rester factuel Pas d’émotion. Pas de justification. Pas de récit détaillé.
6. Ne pas chercher à convaincre Un manipulateur ne débat pas de bonne foi. Il utilise le débat pour reprendre le pouvoir.
7. Poser un cadre, pas une négociation On ne discute pas une interdiction abusive. On la refuse calmement.
8. Toujours écrire comme si un tiers pouvait lire Chaque message doit pouvoir être relu sans honte par un avocat, un juge ou un professionnel.
Un point clé souvent oublié
Se taire après avoir répondu n’est pas fuir.
C’est refuser l’escalade.
Le silence, après une réponse posée et cadrée, est souvent ce qui protège le plus.
« Face à un manipulateur pervers, le silence n’est pas une fuite. C’est la règle d’or de la protection. »
Geneviève SCHMIT Tweet
En conclusion
Face à un manipulateur pervers, répondre n’est pas communiquer.
Répondre, c’est se protéger.
Ce n’est pas la qualité de vos explications qui mettra fin à l’emprise.
C’est votre capacité à changer de stratégie, à reprendre le contrôle du temps, des mots et du cadre.
Moins répondre, mieux répondre, et parfois ne plus répondre du tout, est souvent le premier pas vers la sortie de l’emprise.
Geneviève Schmit – décembre 2025
Il n’existe pas de phrases magiques pour faire changer un manipulateur pervers.
Dans un contexte de perversion narcissique, de harcèlement moral ou de relation toxique, l’objectif n’est pas de convaincre, mais de se protéger et de défaire l’emprise.
Les phrases efficaces ont toutes un point commun :
elles sont courtes, factuelles, sans empathie excessive, et mettent fin à l’échange.
Voici des exemples de phrases protectrices, à utiliser selon la situation.
Pour stopper la culpabilisation
« Je ne partage pas ton analyse. »
« Je ne me reconnais pas dans ce que tu dis. »
« Je prends note de ton point de vue. »
Ces phrases évitent de nourrir la culpabilité, souvent utilisée pour maintenir l’emprise sur la proie.
Face au harcèlement ou aux messages répétitifs
« J’ai déjà répondu à ce sujet. »
« Je ne souhaite pas poursuivre cet échange. »
« Nous en resterons là. »
Le harcèlement, y compris écrit, vise à épuiser la victime et à renforcer la domination du bourreau.
Quand le manipulateur se fait passer pour une victime
« Chacun est responsable de ses choix. »
« Je ne suis pas responsable de tes émotions. »
Faire passer l’autre pour la victime est un mécanisme classique de la manipulation et du narcissisme pathologique.
Face aux mensonges ou à la déformation de la réalité
« Ce n’est pas exact. »
« Les faits sont différents. »
Inutile d’argumenter. Le mensonge fait partie du comportement pervers.
Quand on vous fait passer pour folle ou instable
« Je maintiens ma position. »
« Cette discussion n’est pas constructive. »
Faire passer la victime pour folle est un levier fréquent de la manière perverse de manipuler.
Ce qu’il faut retenir absolument
Ne jamais entrer dans un débat émotionnel
Ne pas chercher à prouver que l’on est une victime
Ne pas répondre à chaque message
Ne pas expliquer encore et encore
Face à un manipulateur ou une manipulatrice, le silence est souvent la réponse la plus protectrice.
Ces phrases ne servent pas à réparer la relation, mais à échapper à l’emprise, à sortir de la manipulation, et à reprendre une position claire et stable.
Si vous êtes ou avez été victime d’une manipulation, un accompagnement par un professionnel formé à l’emprise, psychologue, psychopraticien ou psychiatre, peut être nécessaire pour se libérer durablement et ne plus retomber sous l’emprise.
Contrairement à ce que l’on croit, le point faible d’un manipulateur, homme ou femme, n’est pas l’autre.
Ce n’est ni la proie, ni la victime, ni la relation.
Le point faible d’un manipulateur narcissique repose sur trois éléments centraux de ses mécanismes pervers.
1. La perte de contrôle
Un manipulateur, grand ou discret, ne supporte pas de perdre son emprise.
Son pouvoir repose sur la manipulation affective, la culpabilisation, la séduction et le fait de faire passer l’autre pour une victime ou pour responsable.
Dès que la personne manipulée :
ne réagit plus comme prévu,
ne se justifie plus,
ne cherche plus à convaincre,
cesse de répondre,
le mécanisme se grippe.
C’est là que l’emprise commence à se défaire.
2. L’indifférence émotionnelle
Le manipulateur se nourrit des réactions émotionnelles.
Colère, peur, culpabilité, empathie excessive, tentative de contre-manipulation, tout l’alimente.
Ce qu’il redoute le plus, ce n’est pas la confrontation,
c’est l’indifférence calme.
Quand la victime ne joue plus son rôle de proie, le manipulateur perd son terrain de jeu.
3. La mise en lumière de ses mécanismes
Un comportement manipulateur fonctionne tant qu’il reste invisible.
Être démasqué, voir ses mensonges nommés, ses retournements de situation identifiés, ses stratégies reconnues comme des comportements pervers, fragilise profondément le manipulateur.
Il déteste :
être vu tel qu’il est,
perdre son image de victime,
ne plus pouvoir séduire,
ne plus pouvoir inverser les rôles.
C’est pour cela qu’il attaque souvent quand l’emprise se fissure.
Ce qu’il faut comprendre pour sortir de l’emprise
Le point faible d’un pervers manipulateur n’est pas une phrase magique ni une contre-manipulation.
C’est votre capacité à :
comprendre les mécanismes pervers,
ne plus tomber sous l’emprise,
ne plus nourrir la manipulation affective,
poser des limites claires,
vous extraire émotionnellement.
C’est ainsi que l’on peut échapper à son emprise, se libérer durablement, et ne plus être une proie, que l’on ait été victime d’un homme manipulateur, d’une femme manipulatrice, d’un ex, ou d’un proche toxique.
Un accompagnement par un professionnel formé à l’emprise, psychopraticien, psychologue ou psychiatre, peut être déterminant pour comprendre ces mécanismes et ne plus les reproduire.
Il faut commencer par une clarification essentielle :
on ne “prend pas le dessus” sur un manipulateur pervers comme dans un rapport de force classique.
Chercher à dominer, à contre-manipuler ou à gagner est souvent ce qui maintient l’emprise.
Le véritable levier n’est pas la puissance, mais la sortie du jeu manipulateur.
1. Comprendre le mécanisme pervers
Un manipulateur, homme ou femme, sait manipuler parce qu’il s’appuie sur :
la culpabilisation,
la peur de perdre,
l’empathie excessive,
le besoin de se justifier,
le désir d’apaiser.
Tant que la personne manipulée cherche à expliquer, convaincre ou réparer la relation, elle reste sous l’emprise.
Comprendre ces mécanismes pervers est le premier pas pour s’en libérer.
2. Cesser de nourrir l’emprise
Le manipulateur a besoin de réactions émotionnelles pour maintenir son pouvoir.
Prendre le dessus, c’est :
ne plus se défendre émotionnellement,
ne plus se justifier,
ne plus répondre à chaque message,
ne plus accepter les débats sans fin.
Moins il obtient de réactions, plus son emprise s’affaiblit.
3. Refuser la posture de victime imposée
Le manipulateur retourne la situation et se fait passer pour la victime.
Il culpabilise l’autre jusqu’à le faire douter de lui-même.
Prendre le dessus ne consiste pas à prouver que l’on est victime,
mais à refuser ce rôle.
Une personne qui sort de l’emprise cesse d’être une proie.
4. Poser des limites claires et non négociables
Une limite efficace est :
simple,
répétée à l’identique,
sans justification,
suivie d’effet.
Par exemple :
« Je ne souhaite pas poursuivre cet échange. »
Puis on s’arrête.
C’est ainsi que l’on défait l’emprise, pas en argumentant.
5. Toucher sa véritable faille narcissique
La faille du manipulateur narcissique n’est pas la confrontation.
C’est la perte de contrôle et l’indifférence émotionnelle.
Quand il ne parvient plus à :
culpabiliser,
séduire,
provoquer,
faire passer pour une victime,
son mécanisme se grippe.
6. Sortir de la relation toxique quand c’est possible
Dans de nombreuses relations toxiques, le seul véritable “dessus” possible est la sortie de la relation, physique ou psychique.
Se libérer de l’emprise, ce n’est pas gagner contre l’autre,
c’est se récupérer soi-même.
Un accompagnement par un professionnel formé à l’emprise, psychopraticien, psychologue ou psychiatre, est souvent nécessaire pour comprendre pourquoi on a été manipulé et éviter de retomber dans ce type de relation.
À retenir
Prendre le dessus sur un manipulateur, ce n’est pas devenir plus fort que lui.
C’est ne plus être manipulé.
C’est sortir de la manipulation mentale, refuser le jeu pervers, et reprendre la maîtrise de ses choix, de ses émotions et de sa vie.
Lorsqu’un manipulateur devient agressif, ce n’est ni soudain, ni irrationnel.
C’est une réaction directe à la perte de contrôle.
Un manipulateur, homme ou femme, n’entre pas dans une relation pour échanger à égalité. Il cherche à avoir une emprise, à influencer, orienter, culpabiliser ou dominer, souvent par des manipulations psychologiques subtiles.
Quand la personne manipulée commence à résister, le mécanisme se dérègle.
1. La résistance fait tomber le masque
Tant que la manipulation fonctionne, le manipulateur peut :
se montrer calme,
séduisant,
victime,
compréhensif.
Mais dès qu’il est démasqué, que l’autre ne se laisse plus manipuler, ne culpabilise plus ou ne cède plus, le masque tombe.
L’agressivité apparaît car la stratégie initiale ne fonctionne plus.
C’est fréquent chez les personnalités toxiques, narcissiques ou à caractère pervers.
2. Il se sent menacé dans son pouvoir
Résister signifie remettre en cause sa position dominante.
Or, maintenir son emprise est vital pour lui.
Face à cette menace, il peut :
élever le ton,
inverser les rôles et se faire passer pour une victime,
user de chantage affectif,
déclencher de la colère,
accuser l’autre d’être violent, froid ou manipulateur.
Cette agressivité est une tentative de reprendre le contrôle par la peur.
3. L’agressivité remplace la manipulation
Quand les techniques de manipulation classiques échouent, le manipulateur change de registre.
On observe alors :
des attaques verbales,
des pressions,
du harcèlement,
parfois une violence psychologique plus directe.
Ce n’est pas un “dérapage”.
C’est une nouvelle phase de la manipulation, souvent plus visible.
4. Il retourne la situation
Un mécanisme central de la perversité consiste à faire passer la victime pour responsable.
Lorsque vous résistez, il peut dire :
« Tu me pousses à bout »
« Tu me fais devenir agressif »
« Je suis la vraie victime »
Ce retournement permet de maintenir la confusion et d’éviter toute remise en question.
Ce qu’il faut comprendre pour se protéger
L’agressivité d’un manipulateur est souvent le signe que :
l’emprise commence à se fissurer,
vous êtes en train de sortir du rôle de proie,
le rapport de force change.
Cela ne signifie pas que vous devez continuer à confronter.
Au contraire.
Face à cette agressivité :
réduisez les échanges,
évitez la confrontation directe,
sécurisez vos limites,
faites-vous accompagner.
Se libérer de l’emprise ne passe pas par l’escalade, mais par la sortie du jeu manipulateur, parfois par la sortie de la relation, qu’il s’agisse d’un ex, d’un parent toxique, ou d’un partenaire.
Un accompagnement par un professionnel formé à l’emprise, psychopraticien, psychologue, psychiatre ou psychanalyste, peut être indispensable pour comprendre ces mécanismes et éviter de retomber dans des relations toxiques.
À retenir
Un manipulateur devient agressif quand on lui résiste parce qu’il perd ce qui le rassure le plus :
le contrôle.
Ce n’est pas votre résistance qui est le problème.
C’est sa dépendance à l’emprise.
La souffrance d’un manipulateur, homme ou femme, ne fonctionne pas comme celle d’une personne non toxique.
Elle est réelle, mais elle ne naît pas de la relation elle-même. Elle naît de la perte de contrôle.
Contrairement à ce que beaucoup imaginent, ce n’est pas l’amour, la rupture ou la souffrance de l’autre qui fait le plus souffrir un manipulateur pervers ou narcissique.
1. Être démasqué
Ce qui fait profondément souffrir un manipulateur, c’est d’être vu tel qu’il est.
Quand ses mensonges, ses techniques de manipulation, ses retournements de situation ou sa manière de faire passer l’autre pour une victime sont identifiés, son système s’effondre.
Le manipulateur a besoin :
de paraître compréhensible,
d’avoir raison,
de passer pour la personne blessée,
de masquer son côté pervers.
Être démasqué menace directement son équilibre.
2. La perte d’emprise
Un manipulateur souffre lorsque son emprise psychologique ne fonctionne plus.
Quand l’autre :
ne se laisse plus culpabiliser,
ne cherche plus à se justifier,
cesse de répondre,
ne se laisse plus rabaisser ou dévaloriser,
le manipulateur perd son principal levier.
Il peut alors devenir agressif, se poser en victime ou tenter de refaire la manipulation, car perdre l’emprise est vécu comme une attaque.
3. L’indifférence émotionnelle
Le manipulateur se nourrit des réactions émotionnelles de ses victimes.
Ce qui le fait souffrir n’est pas la colère de l’autre, mais :
l’absence de réaction,
la distance émotionnelle,
le calme,
le retrait.
L’indifférence lui enlève la sensation d’exister à travers l’autre.
4. La remise en cause de son image
Qu’il s’agisse d’un grand manipulateur, d’un ex, d’un parent toxique ou d’une personne narcissique, le manipulateur supporte très mal :
d’être confronté à ses contradictions,
de ne plus être admiré,
de ne plus être cru,
d’être perçu comme toxique.
Il reproche alors à l’autre ce qu’il refuse de voir en lui-même.
Ce qu’il faut comprendre pour sortir de l’emprise
La souffrance du manipulateur n’est pas un appel à l’aide, ni un signe qu’il faut rester ou réparer la relation.
Elle est souvent instrumentalisée pour :
maintenir l’emprise,
culpabiliser,
faire passer l’autre pour responsable,
retenir la victime sous son emprise.
Se libérer de l’emprise ne consiste pas à soulager la souffrance du manipulateur, mais à cesser de s’y sacrifier.
Comprendre ces mécanismes est essentiel pour :
reconnaître une personne manipulatrice,
ne plus se laisser manipuler,
sortir d’une relation toxique,
éviter de retomber sous l’emprise.
Un accompagnement par un professionnel formé à l’emprise, psychopraticien, psychologue, psychiatre ou psychanalyste, peut être déterminant pour se reconstruire après une relation marquée par l’emprise psychologique.
À retenir
Ce qui fait souffrir un manipulateur, ce n’est pas l’amour perdu.
C’est la perte de pouvoir sur l’autre.
Et cette souffrance ne justifie jamais la manipulation, la dévalorisation ou le maintien de l’emprise.
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